Жюль Габриэль Верн знаменитые цитаты
„Работа — это моя жизненная функция. Когда я не работаю, то не ощущаю в себе никакой жизни.“
Вариант: Работа — это моя жизненная функция. Когда я не работаю, то не ощущаю в себе никакой жизни.
Жюль Габриэль Верн цитаты
„Думаю, что кошки — это духи, спустившиеся на землю.“
Вариант: Думаю, что кошки — это духи, спустившиеся на землю.
Вариант: Жить — означает не только удовлетворять материальные запросы организма, но главным образом сознавать свое человеческое достоинство.
„Слово 'пещера', очевидно, не подходит для обозначения этого необъятного пространства.“
обозначение, слово
Источник: проза
улитка
Источник: Плавучий остров
„Женщины вообще неустрашимы, за исключением тех, которые боятся всего на свете.“
«С Земли на Луну прямым путём за 97 часов 20 минут»
Жюль Габриэль Верн: Цитаты на английском языке
“The Earth does not want new continents, but new men.”
Ce ne sont pas de nouveaux continents qu'il faut à la terre, mais de nouveaux hommes!
Part I, ch. XVIII: Vanikoro (Boston: Geo. M. Smith & Co., 1873, p. 101) (Ch. XIX in the French text)
Tr. Walter James Miller (1966)
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
Вариант: The planet doesn't need new continents, it needs new men.
“Man is never perfect, nor contented.”
L’homme n’est jamais ni parfait, ni content.
Источник: The Mysterious Island (1874), Part I, ch. XXII
<p>Cet enlèvement, si brutalement exécuté, s'était accompli avec la rapidité de l'éclair... Un rapide frisson me glaça l'épiderme. A qui avions-nous affaire ? Sans doute à quelques pirates d'une nouvelle espèce qui exploitaient la mer à leur façon.</p><p>A peine l'étroit panneau fut-il refermé sur moi, qu'une obscurité profonde m'enveloppa.</p>
Part I, ch. VIII: Mobilis in Mobili
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
“In the memory of the dead all chronological differences are effaced.”
Les différences chronologiques s'effacent dans la mémoire des morts.
Part I, ch. X: The Man of the Seas (Part I, ch. XI in the French text)
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
Restait en dernier lieu la classe superstitieuse des ignorants; ceux-lá ne se contentent pas d'ignorer, ils savent ce qui n'est pas.
Tr. Walter James Miller (1978)
Вариант: There was the class of superstitious people; they are not content simply to ignore what is true, they also believe what is not true.
Источник: From the Earth to the Moon (1865), Ch. VI: The Permissive Limits of Ignorance and Belief in the United States (Charles Scribner's Sons "Uniform Edition", 1890, p. 31)
Les objets extérieurs ont une action réelle sur le cerveau. Qui s’enferme entre quatre murs finit par perdre la faculté d’associer les idées et les mots. Que de prisonniers cellulaires devenus imbéciles, sinon fous, par le défaut d’exercice des facultés pensantes.
Источник: Journey to the Center of the Earth (1864), Ch. XXVI: The worst peril of all
Ils faisaient à autrui ce qu'ils ne voulaient pas qu'on leur fît, principe immoral sur lequel repose tout l’art de la guerre.
Tr. Walter James Miller (1978)
Вариант: They did unto others what they would not have others do unto them, an immoral principle that is the basic premise of the art of war.
Источник: From the Earth to the Moon (1865), Ch. X: One Enemy v. Twenty-five Millions of Friends (Charles Scribner's Sons "Uniform Edition", 1890, p. 50)
“The Great Architect of the universe built it of good stuff.”
Источник: Journey to the Center of the Earth (1864), Ch. XXXI in the French text, Tr. William Butcher (1992)
À en croire certains esprits bornés, — c'est le qualificatif qui leur convient, — l'humanité serait renfermée dans un cercle de Popilius qu'elle ne saurait franchir, et condamnée à végéter sur ce globe sans jamais pouvoir s'élancer dans les espaces planétaires! Il n'en est rien! On va aller à la Lune, on ira aux planètes, on ira aux étoiles, comme on va aujourd'hui de Liverpool à New York, facilement, rapidement, sûrement, et l'océan atmosphérique sera bientôt traversé comme les océans de la Lune!
Tr. Walter James Miller (1978)
Вариант: If we are to believe certain narrow minded people — and what else can we call them? — humanity is confined within a circle of Popilius from which there is no escape, condemned to vegetate upon this globe, never able to venture into interplanetary space! That's not so! We are going to the moon, we shall go to the planets, we shall travel to the stars just as today we go from Liverpool to New York, easily, rapidly, surely, and the oceans of space will be crossed like the seas of the moon.
Источник: From the Earth to the Moon (1865), Ch. XIX: A Monster Meeting (Charles Scribner's Sons "Uniform Edition", 1890, p. 93)
Le Nautilus en brisait les eaux sous le tranchant de son éperon, après avoir accompli près de dix mille lieues en trois mois et demi, parcours supérieur à l'un des grands cercles de la terre. Où allions-nous maintenant, et que nous réservait l'avenir?
Part II, ch. VIII: Vigo Bay
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
<p>Phileas Fogg avait gagné son pari. Il avait accompli en quatre-vingts jours ce voyage autour du monde ! Il avait employé pour ce faire tous les moyens de transport, paquebots, railways, voitures, yachts, bâtiments de commerce, traîneaux, éléphant. L'excentrique gentleman avait déployé dans cette affaire ses merveilleuses qualités de sang-froid et d'exactitude. Mais après ? Qu'avait-il gagné à ce déplacement ? Qu'avait-il rapporté de ce voyage ?</p><p>Rien, dira-t-on ? Rien, soit, si ce n'est une charmante femme, qui — quelque invraisemblable que cela puisse paraître — le rendit le plus heureux des hommes !</p><p>En vérité, ne ferait-on pas, pour moins que cela, le Tour du Monde ?</p>
Источник: Around the World in Eighty Days (1873), Ch. XXXVII: In Which It Is Shown that Phileas Fogg Gained Nothing by His Tour Around the World, Unless It Were Happiness
Ainsi est-il du cœur de l’homme. Le besoin de faire œuvre qui dure, qui lui survive, est le signe de sa supériorité sur tout ce qui vit ici-bas. C’est ce qui a fondé sa domination, et c’est ce qui la justifie dans le monde entier.
Part III, ch. XV
The Mysterious Island (1874)
“Poets are like proverbs: you can always find one to contradict another.”
Les poëtes sont comme les proverbes : l’un est toujours là pour contredire l’autre.
Источник: The Survivors of the Chancellor (1875), Ch. 5: An Unusual Route